Sentence du 8 février 1990 coram Burke (unité et fidélité
M.E. 1990/IV, p. 502-520. IN JURE, p. 502-515
PLAN DE L'IN JURE
PREMIERE PARTIE
LA THESE TRADITIONNELLE DE L'UNITE ET LA THESE NOUVELLE DE LA FIDELITE
I. PRESENTATION DE LA THESE TRADITIONNELLE : LE BONUM FIDEI EST LE BIEN DE L'UNITE.
II. LA THESE NOUVELLE : LE BONUM FIDEI EST LE BIEN DE LA FIDELITE.
A. La pensée du principal promoteur de la thèse, DE JORIO
B. Critique de cette thèse
- 1) Cette thèse ne peut pas se soutenir à la lumière du nouveau code
- 2) Cette thèse réduit le bonum fidei à la seule dimension physique, au détriment de la conjugalité
- 3) Cette thèse entraîne parfois une réinterprétation de l'unité
- 4) Cette thèse entraîne des difficultés graves dans le cas de l'intention de commettre l'adultère
III. L'INTENTION DE COMMETTRE L'ADULTERE, SELON LES DEUX THESES
La prélature personnelle de l'Opus Dei au service de la tâche de l'évangélisation de l'Église (Conférence, CEFA, Kinshasa, Novembre, 2007)
La prélature personnelle de l'Opus Dei au service de la tâche de l'évangélisation de l'Église (Conférence, CEFA, Kinshasa, Novembre, 2007)
Amour et Fécondité [1]
De nos jours, on étudie moins l'histoire. C'est dommage parce que il agit d'une matière qui pourrait nous enseigner des leçons utiles, et même, dans certains case, des leçons extrêmement utiles. L'histoire est, notamment, parsemée d'ironie. Il y a des cas assez curieux, et encore et encore d'autres plutôt graves, dont il convient absolument d'être informés, surtout quand ils nos affectent de près par leur conséquences. C'est à cette dernière sorte d'ironie de l'histoire que je me réfère. J'essayerai de m'expliquer.