Sentence du 8 février 1990 coram Burke (unité et fidélité
M.E. 1990/IV, p. 502-520. IN JURE, p. 502-515
PLAN DE L'IN JURE
PREMIERE PARTIE
LA THESE TRADITIONNELLE DE L'UNITE ET LA THESE NOUVELLE DE LA FIDELITE
I. PRESENTATION DE LA THESE TRADITIONNELLE : LE BONUM FIDEI EST LE BIEN DE L'UNITE.
II. LA THESE NOUVELLE : LE BONUM FIDEI EST LE BIEN DE LA FIDELITE.
A. La pensée du principal promoteur de la thèse, DE JORIO
B. Critique de cette thèse
- 1) Cette thèse ne peut pas se soutenir à la lumière du nouveau code
- 2) Cette thèse réduit le bonum fidei à la seule dimension physique, au détriment de la conjugalité
- 3) Cette thèse entraîne parfois une réinterprétation de l'unité
- 4) Cette thèse entraîne des difficultés graves dans le cas de l'intention de commettre l'adultère
III. L'INTENTION DE COMMETTRE L'ADULTERE, SELON LES DEUX THESES